Je m’identifie de suite au personnage, c’est mieux non ?

Je suis assise sur un banc dans un parc ombragé, la jupe un peu courte remonte sur mes jambes croisées haut, un chemisier blanc laisse apparaître un soutien gorge noir a balconnet légèrement trop serrés, je tiens dans la main un livre de Gérard De Villiers que je dévore, un homme s’avance, il te ressemble étrangement, il traverse le parc d’un pas sure et ne tourne même pas la tête en passant devant moi, je le suis du regard et instantanément mes yeux ce pose sur ses fesses bien moulé dans un jean délavé, l’homme ralenti le pas sentant mon regard posé sur lui….

 

Tu te retournes brusquement et nos regards se croisent, loin de détourner les yeux et un peu émoustillé par le roman que je lis, je décroise et recroise mes jambes. Dans ce mouvement rapide tu as eu le temps d’apercevoir un petit bout de dentelle noir, troublé tu ne sais que faire, après un instant d’hésitation tu viens t’asseoir sur le banc près de moi mais pas trop, tu ne veux pas m’effaroucher, tu décides de lire l’équipe.

 

Tu n’arrives pas à te concentrer, tu sens mon regard lire discrètement par-dessus ton épaule et retourner rapidement à sa lecture, tu tournes légèrement la tête et tombe sur mon décolleté profond un bouton c’est défait et tu peux voir ma poitrine se soulever par l’entrebâillement, tu commences à aborder le sujet du livre mais très vite et s’en réfléchir tu te penches sur moi pour refermer mon chemisier  

 

A ta grande surprise je lève les yeux vers toi et  baisse mon livre pour te faciliter la tache, enhardie ta main glisse sur mon sein,  un doigt frôle mon téton à la limite du balconnet, tu retires rapidement ta main mais je la saisie, je la fait glisse sous mon chemisier le bouton s‘ouvre de nouveau,  la pénombre est tombé et nous sommes seul dans ce parc, il fait chaud  . . .  

Alors que tu caresses mes cheveux imprimant un rythme soutenu à mes coups de langue, un doigt joue dans ton sexe qui réclame un calibre plus adapte. Je m'allonge et te demande de venir me chevaucher, tu viens t'empaler profondément sur moi, te voir monter et descendre a la cadence de tes seins qui remues magistralement m'excite au plus haut point. Mes mains ne quittent pas tes fesses tu te penches en avant te collant a moi, hum j'ai tes fesses à pleines mains, hum, je passe un doigt entre tes fesses cherchant ta rosette humide de nos ébats et ce doigt pernicieux vient honorer ton petit trou, à ce moment tu augmentes la cadence serais tu excitée????

Tes mouvements sont divins, tu lèches mes lèvres en même temps, nous nous abandonnons complètement, dans une tempête de jouissance, nos corps se cambrent, nos souffles sont courts, nous sommes essoufflés de bonheur, encore quelques mouvements de toi sur moi et je me répands au fond de toi, en un gémissement retenu. Tu me mordilles les lèvres et ne tardes pas a me rejoindre dans un orgasme puissant te clouant empalée sur moi. hummmm, nous restons longtemps lovés l'un contre l'autre a nous embrasser et nous caresser, a savourer ces moments si chauds et si agréables.

J’aimerais être avec toi sous cette douche, je respecte ton choix (mon choix était de rester dans le virtuel),  alors, même si je pense qu'on pourrait être en phase dans le réel, je resterais dans le virtuel pour toi, je ne veux surtout pas que ça s'arrête.

    Les prochains écrits seront de ma main