Moi j’avais une vision très clair de la façon de voir notre liaison, peut être aussi du a une 3eme rencontre virtuelle très forte et éphémère, pour laquelle je voulais
garder une certaine liberté au cas ou elle réapparaîtrait.
Avec Gérard c’était ne plus se sentir seul, avoir quelqu’un qui est la pour vous, pour s’occuper de vous et vous dorloter. Les week-ends, nous les passions ensemble, promenade, câlins, douches ensembles, de ces petits bonheurs qui remplissent une vie, petits déjeuners au lit ce qu’il n’avait pas connu, il aimait prendre le temps de me laver sous la douche avec un plaisir infini. Il me couvrait de rose, et quand il apprit que j’en prenais une chaque semaine pour emmener à mon travail, il m’en offrait une supplémentaire, c’était comme si je touchais le bonheur du bout des doigts.
Mais dès que le week-end était terminé qu’il repartait chez lui, c’a n’allait plus. Le lundi il était encore sous le charme, mais le mardi commençait ses reproches et ses doutes, tu ne m’aimes pas, un soir que j’étais partie passer la soirée avec une amie, il m’a fait une scène, que je préférais être avec elle plutot qu'avec lui qui n’allait pas bien. J’ai découvert ce soir la a quel point il n’allait pas bien et ne savait pas si j’étais suffisamment solide pour l’aider, je me suis précipitée pour le rejoindre , il était sur les bords de la Seine et avait pris des comprimés, je l’ai donc emmené chez moi.
Une autre fois, il faisait une scène parce que j’avais accepter d’être formatrice pour 1 à 3 jours sur Paris sans l’avoir consulter, cela ne faisait même pas un mois qu’on se fréquentait.
Les week-ends, j’avais l’impression d’être avec une autre homme, je ne savais
plus ou j’en étais, rester ou bien le quitter.
Nous avions un petit restaurant près de chez moi, qu’on appelait la cantine , nous y allions le vendredi soir , parce qu’il ne voulait pas que je perde mon temps à la cuisine , « pendant se temps tu ne t’occupes pas de moi » me disait il.
J’aimais quand il m’appelait « Mamours », ça sonnait bien dans sa bouche, et quand il rencontrait une personne bizarrement fringué il me glissait à l’oreille "t’as le look coco, coco t’as le look", je l’adorais j’en suis certaine et encore aujourd’hui comme il me manque.
Je l’ai emmené pour son anniversaire dîner sur la seine à Paris, la nuit. Il
ne m’a pas lâché du regard, quand je lui ai dit "je t’aime" , il m’a répondu "il ne faut pas".
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