Moi

 

Oui tu as raison avec toi j'ai envie d'être soumise

 

Non c'est même pas de l'envie, c'est un besoin

 

C'est tout le pouvoir que tu as sur moi , jamais je n'ai ressentie ça, tout est virtuel et tout est tellement fort , ce que je ressens au plus intime de mon corps n'est pas virtuel, quand tu raccroches le téléphone , je me sens vide, fébrile et j'ai froid. J'ai envie de tout ce pouvoir que tu as sur moi.

 

Pourtant je ne peu rien promettre pour un passage de notre excitation virtuel au réel, tu me fait remettre tout en cause, je suis perdu en ce moment

 

Mais je sais qu'une peur me serre le ventre, celle de te perdre, celle de perdre ce qui se passe aujourd'hui entre nous.

 

Retour dans la nuit,

 

Alors prend moi, fait moi connaître ce plaisir qu'aucun autre n'a su me donner, je veux partir si loin, m'évanouir dans tes bras de plaisir que je n'ai jamais connu, ensuite tu m'embrasseras, tu t'habilleras et tu partiras, je n'aurais pas même vu ton visage, je serais a la fois vider et pleine de toi ma douleur sera immense de te voir partir, je ne sais quand je te reverrais

 

Fait de moi ce que tu veux

 

TA Soumise à SON Amant

Lui

Esclave de ton désir et du mien, voila c'est ainsi que tu te donnes et c'est ainsi que je te prends.

Je te contemple ainsi agenouillée contre le rebord du lit, submergée par ton désir impérieux. Je te demande d'abandonner toute décence et de laisser ton corps me réclamer, m'appeler comme une femelle en rut. Alors tu t'aplatit au sol, les fesses seules sont en surplomb et elles viennent se frotter à moi, qui suis a genoux derrière toi...

Tes fesses se frottent à mes cuisses, se pressent contre elles, elles cherchent mon sexe, le trouvent, l'emprisonnent dans la raie qui les partage, et exercent des mouvements de contraction

J'ai du mal à réprimer un râle de plaisir car ton attaque a été inattendue et soudaine...

 Ton anus me réclame avec furie. Très bien, très bien, je vais le préparer...

Je te saisis les fesses, immobilise ton bassin qui était parti dans une danse inépuisable, puis après t'avoir ainsi coincée, je commence à te pétrir l'anus avec la paume de ma main que j'ai enduite d'huile parfumée...

et toi tu gémis, tu gémis de plaisir

Un doigt s'introduit alors pour te lubrifier et t'assouplir, tu le sens aller et venir avec dextérité, et déjà tu sens monter des vagues de plaisir intense...

Ka tempête gronde, et mon doigt accélère le rythme, il fouille au plus intime de toi, t'ouvre de plus en plus. Et toi tu cries "Encore, mais stop, pas plus profond". Mon doigt insensible à ta demande, te pénètre chaque fois plus profond, chaque fois plus largement. Je te sens si souple,

Si bien préparée, si disponible maintenant, et déjà secouée de spasmes que ton corps ne contrôle plus. Un long hurlement à peine contenu m'apprends que tu es au bord du précipice...

Et voila que toi, la dame si romantique et convenable, commence à proférer des mots que tu n'aurais jamais pensé prononcer. Tu me demandes d'arrêter mes doigts et de.... tandis que tes fesses viennent carrément contre mon sexe, pour forcer la pénétration...

Oui, tu m'as rendu fou de désir, mon sexe tendu au bord de l'explosion et tout mon corps assoiffé du tien, qui ne veut qu'une seule chose : te coller a lui, te presser avec rage et violence... mais voila la règle du jeu l'interdit, je dois m'abstenir de te toucher, alors je te supplie d'arrêter ou de me terminer. Mais toi tu continues par des caresses périphériques qui me rendent d'autant plus fou, je n'y tiens plus, je me redresse et dans le noir ma tête fonce vers toi, a l'aveugle, elle est affamée de toi, et elle veut te mener toi aussi au bord de la furie du désir. Elle tombe sur ton épaule, qu'elle avale, mord lèche avec rage puis se dirige vers le sein. Je l'aspire sans ménagement, j'y étanche ma soif de toi, et je sens bien qu'il va falloir me calmer si je veux te faire subir ce que tu m'as fait subir. Ma langue dessine des cercles concentriques sur ton sein, jusqu'a la pointe. Arrivée la, la langue s'enroule autour et le fait grossir... Je t'entends gémir, soupirer, m'encourager. Tu m'appelles, tu réclames ma bouche partout à la fois. J'accepte de te donner mes lèvres en te demandant qu'en échange tu mettes les genoux au sol, le buste contre le lit, le ventre, cuisses bien écartées pour me donner accès a tes fesses et a ton sexe. On s'embrasse longuement et tu t'exécutes, pour me donner accès a toute ton intimité. Et la d'une langue très légère je parcours le sillon de tes fesses, en contournant l'anus, puis en contournant le sexe, en dessinant leurs pourtours, et comme cela en un mouvement lent et précis, qui goutte chacun des replis, des reliefs de ton corps. Et tu me réclames bien plus, je le sens à ton corps qui vient chercher ma langue, qui essaye de la faire glisser, dévier de sa route pour tomber sur ton anus ou ton sexe. Mais fermement elle ne se détourne pas de sa route, jusqu'au moment ou c'est moi qui n'y tient plus : alors ma langue vient assiéger le rebord de ton anus, à petits coups violents, rapides et brefs. L'ondulation de ton bassin m'apprend combien tu aimes cela, mais aussi que tu en veux bien davantage. Alors mes lèvres se saisissent de lui, et je lui fais un baiser tout aussi passionne et langoureux que celui que je t'ai fait pour commencer. Tu cries, ton corps tremble. Alors je te libère, mais c'est pour reprendre aussitôt tes lèvres, celles du bas, ton sexe tout entier dans ma bouche, je commence par t'aspirer les lèvres ensemble, comme pour te vider de ce suc qui coule de toi, et je sens une saveur un peu salée, d'un parfum que j'adore, qui m'enivre et me rend fou de désir, mes lèvres te tiennent serrée, et la langue doit forcer pour te pénétrer, d'un coup je suis au fond de toi... ton sexe, comme un manchon vivant est secoue de vibrations... la langue le fouille, y plonge avec fièvre, le parcourt sans cesse... tout au fond, tandis que mes lèvres continuent d'exercer leur mouvement sur les tiennes.

Tu me réclames, tu veux retenir ta jouissance, pourtant ton corps est secoué de secousses, ton sexe est au bord de l'explosion... comme le mien....

Ton Patrice